Rogue Leader
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 Sauver des vies...

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Minos
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Minos


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MessageSujet: Sauver des vies...   Sauver des vies... Icon_minitimeDim 21 Oct - 11:49

Bon, c'est pas le tout, mais je suis aussi capable d'écrire des choses sérieuses (si, si).

Voici donc une petite histoire, née pour le recueil 4 de SWU, et dont le thème est la bataille de Coruscant, au début de ROTS. J'avais besoin d'un héros né la même année, pour les besoins de mon histoire, mais je n'en ai pas trouvé. Je me suis rabattu sur le plus jeune héros important, né peu d'années auparavant...

Bonne lecture à ceux qui n'ont pas découvert cette histoire chez les voisins de SWU !

Sauver des vies…

Nous n’avons rien à faire dans cette guerre. Absolument rien. Nous sommes des Jedi, pas des mercenaires à la solde d’une…d’une quoi ? République ? Ce terme me semble aujourd’hui bien impropre pour désigner l’entité politique à laquelle les Jedi sont alliés depuis des millénaires.
Les signes de déliquescence parmi les instances dirigeantes de la République n’ont cessé d’augmenter pendant les dernières années de paix. Cela aurait dû nous paraître évident. Facile à dire après coup, certes. Mais la corruption se généralisait vraiment à outrance au sein du Sénat.
D’éternels optimistes ont argué que ce n’était pas la première fois qu’un tel état de fait s’installait. Selon eux, le phénomène de la corruption des élites était cyclique. La crise, à les entendre, ne serait que momentanée, comme elle l’avait toujours été par le passé, bien qu’elle dépassât par son ampleur toutes celles qui avaient précédé.
Soit. Je veux bien admettre que leur argumentaire se tenait.

Il est une chose, en revanche, que je n’ai jamais pu admettre : que nous, les Jedi, prenions partie dans une guerre civile. L’histoire nous a enseigné que les Jedi combattent aux côtés de la République uniquement contre des ennemis extérieurs. Pour ce qui est des relations au sein des membres de la République, nous sommes des médiateurs. Et sûrement pas des généraux, menant des armées fabriquées sur mesure pour lutter contre des sécessionnistes.
Parmi ces derniers, certains sont des êtres honorables. Durant des offensives menées par des Jedi, des femmes et des enfants sont morts, victimes tragiques et anonymes d’un conflit politique qui ne les concernait pas. Certaines planètes ont vu dans cette guerre une chance d’échapper à cette bête immorale qu’était devenue la République. Qui oserait prétendre que leurs revendications, leur soif de liberté, doivent être éradiquées par le feu et les flammes ?
Pas moi, en tout cas. Et de mon point de vue, les Jedi n’auraient jamais dû être mêlés à cela. Mais ils ne m’ont pas écouté. J’ai plaidé la cause de notre non-engagement dans la guerre devant le Conseil Jedi lui-même, mais nul ne m’a écouté.

Au contraire, le jeune maître Windu, membre éminent du Conseil, a eu l’outrecuidance de me promouvoir « Général de la Grande Armée de la République ». Lorsqu’il m’a annoncé la nouvelle, en pleine séance du Conseil, ça a été plus fort que moi : je n’ai pas pu m’empêcher d’éclater de rire.
Moi, général ? Fedner Argon, Maître Archiatre, guérisseur, naturaliste, professeur et philosophe, général ? Par la Force ! Avaient-ils donc tous perdu l’esprit, même le vieux psychorigide Yoda ?
S’en est suivie une leçon de morale de leur part, Windu d’abord, puis Yoda, qui ont insisté lourdement. Les Jedi devaient assumer leurs responsabilités vis-à-vis des peuples de la République, ladite République était la meilleure garantie à long terme de pérenniser la paix à travers la galaxie, etc. Seulement voilà, j’ai moi aussi mes principes, même si les Maîtres semblaient tous l’avoir oublié, et je le leur ai rappelé sèchement :
« Je suis un Jedi , pas un combattant. Montrez-moi une victime, un être dont la vie est mise en danger par la violence ou la cupidité d’autrui, et je serais le premier à prendre sa défense. Il est par contre hors de question que je prenne les armes pour des raisons politiques, contre des ennemis désignés comme tels uniquement pour des raisons stratégiques. Et ne venez pas me parler des Sith : il serait criminel de ma part de combattre la moitié de la galaxie pour en débusquer un voire deux.
« Persistez dans votre folie si cela vous chante, je ne vous suivrais pas sur ce chemin. Et dites-vous bien une chose : dans toute guerre, il y a des victimes innocentes, que d’aucuns appellent hypocritement des « dommages collatéraux ». Nous autres Jedi en porterons collectivement la responsabilité.
« J’accompagnerais tout de même vos troupes à la bataille, mais ne le ferais qu’en tant que guérisseur, qui s’occupera d’apporter aide et réconfort, si cela est possible, aux victimes non-combattantes des deux camps, qui jalonneront le conflit destructeur qui s’annonce. »
Cette mise au point faite, et pour montrer ma détermination, j’ai empoigné mon sabrolaser et l’ai démonté sous leurs yeux, pièce après pièce, avant d’en écraser le cristal sous mon talon.
Je suis sorti dans un silence de mort, et la seule réponse du Conseil à ma diatribe a consisté à me délivrer un sauf-conduit quelques heures plus tard, m’autorisant à me rendre sur tous les champs de bataille, sans avoir de compte à rendre à qui que ce soit.

Les trois années suivantes m’ont paru durer une éternité. Toujours sur la brèche, errant de monde en monde, proposant mes services et mes talents à tout nécessiteux croisé sur ma route, sans me préoccuper le moins du monde de ses convictions politiques ou de son camp.
Combien de vies ai-je sauvé ? Des centaines à tout le moins, des milliers sans doute. Ce n’est rien à l’échelle galactique, bien sûr, mais je ne peux m’empêcher de frémir de fierté en pensant à ce que peut accomplir un seul être, quand il est suffisamment déterminé.
Au début de la guerre s’est posé le problème de ma méthode de sélection des mondes sur lesquels je serais le plus utile. J’ai commencé par suivre les plus grosses armées, susceptibles de faire le plus de dégâts. Peu de monde osant s’en prendre à bien plus fort que lui, ces flottes ne participèrent pas à des grosses batailles. Et pendant que je rongeais mon frein, pleinement conscient de mon inutilité, les rapports tombaient sur des massacres perpétrés ailleurs, où j’aurais été bien plus à ma place.
La logique ne pouvant me venir en aide pour déterminer sur quelles planètes je devais me rendre, je pris l’habitude de me plonger dans de longues méditations dans la Force, en me visualisant dans le futur en tant que guérisseur. La Force ne m’a jamais trahi : c’est elle qui m’a guidé, qui m’a indiqué où je devais aller accomplir mon devoir.

Comme à l’accoutumée, à la suite de la dernière mission de sauvetage que je m’étais assignée, j’ai pris une longue nuit de sommeil, et me suis éveillé alerte le lendemain. Assis en tailleur, le dos bien droit, les bras tendus, les paupières mi-closes, les paumes des mains posées sur mes genoux, je suis entré en méditation. Par la force de l’habitude, c’est devenu très simple, et je me suis vite retrouvé plongé dans les méandres sinueux de la Force, à la recherche d’un point de connexion, dans l’avenir le plus proche, où je me retrouverai à nouveau à soigner et sauver des vies.

A vrai dire, la vision qui s’en est suivie a été très insolite. Avec une précision que je n’avais jamais expérimenté jusque-là, j’ai vu un tout jeune humain, qui ne devait pas avoir plus de trois ou quatre ans. Il prenait fièrement la pose devant une sculpture titanesque, haute d’une dizaine de mètres, représentant une sphère de duracier hérissée de piques tranchantes. Mais pourquoi voyais-je donc un être précis, et non pas une impression générale, comme d’habitude ?
J’entendis la Force gémir quand des débris de vaisseaux s’abattirent aux alentours, s’enfonçant dans les niveaux d’habitations comme dans du beurre. La sphère se détacha de son support et tomba droit sur l’enfant. Celui-ci leva les yeux vers elle, une lueur de fascination dans les yeux. Il ne fit pas un geste pour l’éviter, et même s’il avait compris ce qui l’attendait, courir sur ses jambes courtaudes n’aurait pas suffi à le sauver. Quand il disparut, j’entendis presque des cris se diffuser à travers la Force.

Je sortis très ébranlé de cette vision, avec le sentiment que mon destin allait se jouer là. Surtout que ce n’était pas la première fois que je voyais cette sculpture gigantesque : elle trônait, majestueuse, sur une esplanade près du Sénat de la république, sur Coruscant, et était la représentation du virus endomien, qui avait ravagé bien des mondes quatre cent ans auparavant. La sculpture symbolisait l’alliance sans pareille qui s’était alors mise en place pour trouver un antidote, toutes les ressources de la galaxie ayant été mises à contribution pour lutter contre ce fléau qui avait menacé d’extinction toute vie connue et inconnue.
Je perçus autre chose : intervenir pour tenter de sauver l’enfant me mènerait droit à la mort. Mais la Force m’indiquant clairement que l’enfant devait survivre, je me résignais à mon sort, non sans une pointe de regret au cœur.

Je regagnais en hâte mon chasseur Jedi et décollais. Il ne me fallut que quelques minutes pour rejoindre l’anneau hyperspatial en orbite, auquel je m’arrimais. Sans perdre de temps, je programmais la trajectoire la plus rapide possible pour rallier Coruscant, mis les gaz, et mon chasseur plongea dans l’hyperespace.
La mort n’a rien rédhibitoire. Ce n’est qu’un passage obligé pour tout un chacun, et j’en étais le premier conscient, en tant que Jedi. Je me mis donc en transe curative, pour être au summum de ma force quand j’émergerais en orbite de Coruscant. Je devais mettre toutes les chances de mon côté pour réussir ma mission de sauvetage dictée par la Force elle-même. Mon seul regret était de ne pas comprendre, de ne pas savoir pourquoi l’enfant devait être sauvé.

Mon chasseur fut expulsé violemment de l’hyperespace, quelques secondes avant le moment prévu. Tous mes sens en éveil, un simple coup d’œil à travers la verrière de mon cockpit m’apprit pourquoi : Coruscant était attaquée. La CSI semblait avoir décidé, telle une bête à l’agonie, d’accomplir un baroud d’honneur en frappant la République au cœur.
Cela ne me concernait en rien, aussi esquivais-je toute confrontation. Je trouvais rapidement un endroit relativement calme au sein de la bataille furieuse qui faisait rage, et parvins à me faufiler sans mal entre les titans qui s’affrontaient à grand renfort de tirs incessants de turbo-laser.
J’esquivais non sans mal une énorme boule de feu, vestige de navire, et plongeais en direction du Sénat. Une boule d’oppression m’enserra la gorge, soulignant l’urgence de la situation. Mes senseurs hurlèrent, et y jetant un coup d’œil, je vis que j’étais poursuivi par des dizaines de boules de feu semblables à la première. Par la Force ! Il ne s’agissait rien moins que des restes d’un vaisseau capital, et ils fonçaient eux aussi tout droit vers le Sénat. Je n’avais que quelques secondes d’avance sur eux. Un doute quant à la faisabilité de ma mission m’assaillit, et je le repoussais sur-le-champ. Ce n’était pas le moment de se laisser distraire par des émotions parasites.
Des corvettes venues de la surface me croisèrent, se portèrent au-devant des débris et les arrosèrent d’un feu nourri, espérant sans nul doute les disperser et amoindrir leur pouvoir de destruction.

Je m’arc-boutais sur les commandes et continuais à foncer, jusqu’à ce que la Force m’envoie un avertissement pressant. Je fis partir mon chasseur en vrille et vis l’espace exploser, à l’endroit précis où je me trouvais une seconde auparavant. J’aurais dû m’en douter : les défenses antiaériennes du Sénat entraient en branle, et cherchaient à détruire tout projectile, débris ou navire, menaçant de tomber ou de trop se rapprocher du bâtiment officiel.
Je n’avais néanmoins pas le choix. Je serrais les dents et poursuivis ma progression, vaille que vaille. Peu s’en fallut qu’un tir ne m’abatte. Je l’évitais au dernier moment, mais la déflagration et l’onde du choc provoquèrent des courts-circuits dans mes commandes. Des flammèches bleues coururent sur le tableau de bord et me brûlèrent les mains, tandis qu’une épaisse fumée envahit mon cockpit. Je restais imperturbable, tendu vers mon but.
Le sol était tout proche. Pas le temps de procéder à un atterrissage dans les règles. J’éjectai la verrière supérieure du cockpit, coupai les circuits, me déharnachai et sautai dans les airs. Mon chasseur s’écrasa et se brisa en mille morceaux, tandis que j’atterrissai dix mètres plus loin, souplement.
Nul besoin de lever les yeux pour savoir que les débris allaient s’écraser d’une seconde à l’autre. Je courus vers l’esplanade et la sphère, repoussant mes limites physiques comme jamais auparavant.

Cinquante mètres. L’enfant est là. Je le vois, minuscule petit bout de rien du tout. Un couple d’adultes, paniqué, court vers lui, lentement, si lentement, en criant des paroles que je n’entends pas. Ils ne peuvent rien pour lui. Je le sais. Trente mètres. Les débris s’écrasent. étrangement, nul son ne parvient plus à mes oreilles. La sculpture vacille, du haut du pilier qui la supporte. Le gamin lève les yeux. La sphère hérissée de piques tombe. Au ralenti. Droit sur l’enfant.
Mon timing est bon. Un sourire vient illuminer mon visage, et un ravissement sans borne m’envahit, sans que je sache pourquoi. Je bondis vers l’enfant, l’envoie voler dans les airs à l’aide d’une violente poussée de Force, et je retombe sur mes pieds à l’endroit même où il se tenait dans ma vision.

La seconde qui me reste à vivre s’écoule, long moment d’éternité au cours duquel je comprends tout. L’enfant n’aura que quelques contusions, et survivra à ce jour. Ses parents, venus sur Coruscant en vacances, s’empresseront de retourner dans le système corellien, d’où ils sont originaires.
Simultanément, dans un autre pan de mon esprit, une nouvelle vision s’impose à mes sens :
…De la monstrueuse sphère de métal, sans doute d’un diamètre de plusieurs centaines de kilomètres, un laser vert sort et vient percuter un croiseur, apparemment de facture calamarienne. Celui-ci explose sans bruit, dans le vide de l’espace…
…Avancée à une vitesse folle…les parois se rapprochent…Il plonge dans une tranchée, aux commandes de son chasseur, à la suite d’un vaisseau ressemblant à un cargo corellien…
…Le monstre de duracier, tel un improbable dragon, crache à nouveau des traits d’une intense lumière verte et éblouissante…des milliers de voix s’éteignent soudainement dans la Force…
…Le régulateur de la tour nord…tel est son objectif, alors qu’il est lui-même pourchassé, traqué, que sa vie tient à un fil…s’il échoue, tout est perdu…

Il n’échouera pas. L’enfant a bien grandi, dans cette vision.

Maintenant que je sais, les derniers miasmes de regrets abandonnent mon être et une sérénité sans fond m’envahit.

Je n’ai plus qu’à tirer ma révérence, mon destin est accompli.
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MessageSujet: Re: Sauver des vies...   Sauver des vies... Icon_minitimeMer 24 Oct - 7:53

Comme tu le sais probablement déjà, j'ai vraiment apprécié cette histoire entre autre pour son personnage très entier et surtout très bien décrit!
Mais également pour la fin qui donne des frissons!
que du bon donc :loll:
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Saria
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MessageSujet: Re: Sauver des vies...   Sauver des vies... Icon_minitimeVen 26 Oct - 7:40

J'ai enfin pu lire ta nouvelle et j'ai adoré, en particulier la fin!

Ton personnage principal est si bien décrit, entier et Jedi que l'on aimerait vraiment en découvrir plus sur lui. La scène du Conseil où il n'hésite pas à briser son sabre sous les yeux des autres Maîtres est tout bonnement jouissive, tout comme les sympathiques échanges de lasers en orbite de Coruscant!
Et la fin! Emouvante et je plussoie, Den, elle donne des frissons (même si, du coup, il y aurait une petite incohérence chronologique mais ce n'est pas gênant vu la qualité). :clap:

Citation :
La mort n’a rien rédhibitoire.

Il n'y aurait pas un "de" à rajouter par hasard?

Allez, continue à chauffer ton clavier à blanc ou à tailler tes crayons pour nous livrer de belles petites histoire comme celle-ci. :biggrin:
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MessageSujet: Re: Sauver des vies...   Sauver des vies... Icon_minitimeVen 26 Oct - 7:48

Merci pour l'avis, chef ! Very Happy

Saria a écrit:
(même si, du coup, il y aurait une petite incohérence chronologique mais ce n'est pas gênant vu la qualité)
Si ça concerne l'âge du petit, les deux sources que j'ai pu avoir sont un peu contradictoires : sur wookiee, il est dit que Wedge est né en -22, tandis que sur Anakinworld, c'est "environ -20"...du coup, j'ai privilégié wookiee, dont les infos étaient plus précises. A moins qu'il existe d'autres sources ou des faits qui m'aient échappé ?
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MessageSujet: Re: Sauver des vies...   Sauver des vies... Icon_minitimeVen 26 Oct - 8:02

Wedge avait 20 ans lors de la Bataille de Yavin, Luke en avait 19. Wink
Le Wookie est une bonne encyclopédie mais elle est parfois erronée vu que les articles sont rédigés par les "clients".
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MessageSujet: Re: Sauver des vies...   Sauver des vies... Icon_minitime

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